Rothko à la Fondation Louis Vuitton jusqu’au 2 avril 2024

La dernière exposition parisienne de MARK ROTHKO, date de 1999 au Musée d’Art Moderne. (Paris XVIe)

Cette exposition très bien scénographiée, exhaustive, accompagnée de commentaires à la fois courts et explicites.

Joëlle Perrin, qui avait vu l’exposition antérieure, a apprécié d’emblée les débuts de carrière , très différents de l’œuvre célèbre de nos jours.

Cette période figurative extrêmement variée, nous montre les cheminements complexes que le peintre emprunta avant d’arriver à son style magistral (Années 1950)

Son autoportrait (1936)

La maturité artistique

A partir des années 50, la peinture de Mark Rothko devient parfaitement identifiable: deux ou trois formes rectangulaires et colorées se superposent en autant de diversité de tons et de valeurs. La touche atmosphérique donne aux toiles une qualité mystérieuse à la limite de la magie.

Les années soixante

L’artiste expérimente la capacité de panneaux sombres, à la limite de la monochromie, à générer leur propre lumière. Ces tableaux connus sous le nom de Blackforms mêlant au noir des rouges, des bruns et du violet exigent l’accoutumance de l’œil avant de se révéler pleinement au spectateur. Sa dernière oeuvre sera l’installation de La Chapelle de Houston fin des années soixante.

Par Jöelle Perrin le 1/12/2023 à Saint-Gilles-Croix-de-Vie

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